An 42, Fuyante de la Reine Barbare

Quelques temps ont passé depuis nos dernières péripéties. Entre temps, des voyageurs ont passé au fortin et nous même avons collecté diverses informations. Je les transcris ici directement. Yari

• Une comète noire est apparue dans le ciel, visible de jour comme de nuit.
• En 9.29, l’eau est montée et affleure maintenant le ponton
• Hogan a mis ce repos à profit afin d’obtenir de Tetramnest le mot de pouvoir à même d’invoquer sa lance. Finalement ce mot de pouvoir est Katracham prononcé avec l’accent draconique.

• Patrouilleurs présents: Johannes, Donnias, Hogan, Yari
• Hexagones traversés: 12,26
• Météo : Grand beau temps Mais toujours cette comète noire

Toujours ces rumeurs que la comète est annonciatrice de la fin du monde…

Nous avons décidé d’explorer les ruines repérées précédemment afin d’en percer leurs secrets. Il semble que nous ayons bien été inspirés, car à peine entrés, nous avons fait fasse à 7 statues de divinités (Ce qui est étrange, car le panthéon classique en compte 14). Chose inquiétante, Tranquille nous a indiqué avoir repéré des filaments noirs sortir de la ruine, principalement la nuit.

Notre début d’exploration nous laissât perplexes. Le lieu ressemble à un sanctuaire du culte impérial; mais les divinités représentées ne le sont habituellement que très rarement.

Hogan, je ne sais trop comment, a réussi à ouvrir un passage dissimulé vers les profondeurs. D’aucun énonceront qu’ils s’agissait probablement d’explosifs…

Hogan et moi décidâmes alors, avant de nous enfoncer dans les profondeurs humides de l’étroit boyau pénétrant dans les ténèbres, d’avaler quelques potions alchimiques. Bien nous en pris, car ma potion de milles yeux me permis de sauver Hogan d’une mort certaine. En effet, alors qu’il venait de déclencher un piège en accrochant un filin discret, je pu le tirer à moi, une lame de Durandite couverte de Corodeur soufflant à quelques centimètres de son visage.

Nous pourrons revenir prélever le corodeur disposé sur la lame plus tard, à l’aide d’huile neutre. Cela fera un excellent onguent dont je pourrais oindre mes flèches !

À vue d’œil, les talents de détection d’Hogan n’égalaient pas les miens, je remplaça donc Hogan en tête de notre expédition.

Plus nous nous engouffrons dans le tunnel, plus les ombres se font menaçantes. Nous percevons, au delà de la lueur de nos torches, de faibles bruissements trahissant la présence de ces étranges appendices noirs transpirant la corruption. Pis encore, la langue de terre et pierre mélée qui nous servait de chemin se faisait de plus en plus petit jusqu’à ce que nous atteignîmes un passage ou celle-ci avait totalement disparu, remplacé par une abime obscure.

Un trait enflammé plus tard, nous pouvions enfin voir l’endroit exact où nous pourrions reprendre notre exploration. Donias s’y téléporta, nous permettant de tendre une corde entre les deux rebords. Prenant milles précautions, allant jusqu’à envoyer mon barda avant moi, je fus le premier à traverser sur notre pont de fortune. L’exercice ne fut pas des plus simples mais se simplifia grandement lorsque je découvris, caché dans la pénombre et les infructuosité de la roche, une maigre corniche, vestige d’une époque où le chemin était toujours continu. Bien que ténue, celle-ci s’avéra d’une grande aide pour traverser. Mes compagnons n’eurent, d’ailleurs, aucun mal à nous rejoindre. Seul Esir n’y parvint pas. La corde lui échappa des mains et fut bientôt dévoré par une gelée, dissimulée au centre du puit autour duquel serpente le passage que nous empruntions.

Au bas de cette interminable descente: Une étrange salle circulaire. Alors que nous inspections la salle depuis son entrée, nous repérions rapidement des vapeurs inflammables en proximité du plafond ainsi qu’une rigole emplie d’un liquide inflammable, à même d’éclairer la pièce. Je demandais alors à mes compagnons d’attendre quelques instant le temps pour moi de m’assurer de l’absence de danger dans cet espace, ainsi que de l’absence de piège lié à cette rigole. La gelée immobile au milieu, je ne repérai tout d’abord aucun autre danger, mais fut bientôt alerté par huit yeux rouges perçants les ténèbres. Quatre squelettes animés d’intentions belliqueuses tentèrent de m’agresser. Je me replia rapidement vers mes compagnons qui détruisirent les importuns.

À peine avions nous éliminé les hostiles que le silence étouffé de la pièce repris vie sous les applaudissement sarcastique d’une créature nous observant du fond de la pièce.

Intrigué Johannes s’avança auprès de celle-ci. Il semble qu’il s’entendirent bien, car il nous sembla voir la créature et Johannes partager un baiser.

C’est étrange tout de même, Johannes semble plus fatigué après ce baiser qu’avant.

Rassuré par l’absence de violence émanant de la créature nous nous rapprochâmes pour rencontrer Yari Kasakaya, Sidhe. Celui-ci nous parlant en diverses langues, mais révélant rapidement sa préférence pour l’elfique (ce que comprends volontiers)

“Le rejeton est retenu en bas. La comète est sa mère venant le chercher. Elle déclenchera la fin du monde. Ce n’est plus qu’une questions de semaines, de jours peut-être.”

“Ce que vous appelez “métal” est le sang de Nymphéa.

Hogan, comme à son habitude, après avoir courroucé notre hôte, franchit la trace circulaire entourant Yari et se fait malmener. Le calme revenu, Yari accepta de nous raconter son histoire. Lui et ses compagnons souhaitaient soutirer au rejeton un puissant artefact, cependant tout ne se passa pas comme prévu. Ils durent le bannir au fond de se précipice, puis barrer l’accès à l’aide de piège, magie. Ils cultivèrent la gelée afin d’empêcher tout passage. Pour sauver le monde, tout du moins gagner du temps, il faut éliminer le rejeton et tout d’abord retrouver son phylactère.

Le rejeton quant à lui, date d’une époque lointaine, ou les Continents se battaient entre eux… NDLA: Les Continents: Personnification ou sens propre? Les lectures dépendent des traditions magiques. Yari quant à lui est, à n’en pas douter, la divinité que nous connaissons maintenant sous le nom de la Magicienne.

Quelle honneur de rencontrer une telle personne! Je suis persuadé qu’il a énormément à me raconter et à m’apprendre!

Ce moment de grâce passé, les élucubrations de Hogan reviennent à nous tel les balanciers d’une horloge: Yari refuse de nous aider. Il exige que nous envoyons Hogan explorer la porter située plus profondément dans le donjon, alors même qu’il nous avait déjà révélé que le couloir menant à celle-ci était piégé.

Nous ne forçâmes pas Hogan, mais nous ne lui révélâmes pas que celui-ci était piégé. Hogan s’enfonça dans les profondeurs, et nous perçumes une explosion magique. Le sceau magique désarmé, nous nous approchâmes pour découvrir un sceau de blocage inconnu.

Ayant tenu notre part du marché, Yari nous révéla le mot de passe pour franchir la porte est atteindre le rejeton: Le nom de celle qui l’avait emprisonné ici: L’Erudite : Sevigna.

En échange de sa liberté, Yari accepta de maintenir le feu éclairant les lieux, à l’aide du combustible que nous avions découvert, difficilement caché derrière un mur. Il accepta également de partager avec nous une partie de son savoir.

Sur ces entrefaites nous retournâmes donc à l’auberge de bon repos afin de décider de notre prochaine direction. Nous avons d’ailleurs bien fait de nous y arrêter, cette herbe à patrouille tabac est excellent, cela repose nos âmes et nos narines après les effluves putrides du long boyau que nous avons exploré.

Johannes: Oui enfin du bon temps, il faut vite le dire, le repas étais vraiment pas terrible; pour pas dire mauvais

Hogan interrogea les astres, ils étaient formels

“C’est à l’est que nous trouverons des réponses à nos question”.

S’ensuivit donc une marche forcée jusqu’au fortin; sous un soleil dardant de ses rayons nos pauvres carcasses. Hogan doit cependant plus tenir de la carcasse faisandée que de la fraîche bête abattue le matin même; si j’en juge par l’odeur pestilentielle qui en émane dés qu’il transpire!

La première partie de la nuit fut calme, la deuxième moins, surtout pour Hogan. Alors que la nuit était à son zénith, une troupe s’approcha de notre campement. Rapidement nous distinguèrent les traits de nez de cuirs et tout aussi rapidement Hogan se plongea dans le mutisme. Il semblerait que notre compagnon ait quelques éléments à mettre au clair avec ses racines. Il m’a semblé entendre parler de désertion? Aprés quelques négotiations, il est établi qu’Hogan devra se présenter au fortin dés que nous auront tiré au clair le soucis de cette comète.

Gognol! Pouvez-vous nous fournir l’autorisation de votre supérieur pour vous éloigner de la muraille?

Avant de partir en direction du fortin, la troupe nous informe qu’il est possible que le phylactère que nous cherchons soit la torche de la statue à l’est. Voila une information pertinente!

• Patrouilleurs présents: Johannes, Hogan, Yari
• Hexagones traversés: 10,31 11,32
• Météo : Grand beau temps, comète noire

Alors que nous nous apprêtions à partir, il faut nous rendre à l’évidence, nos rations ont fondu comme neige au soleil. Pas le choix, nous allons devoir chasser.

C’est étrange non, ces flaques par un grand beau temps? Hogan

[10,31] Effectivement ces flaques d’eau n’en étaient pas, mais nous ne nous en aperçûmes pas immédiatement, au contraire des étranges vibrations secouant le sol à intervalle régulier.

Une Hydre ! Tous

Alors que nous nous interrogions sur l’origine des vibration et ces étranges flaques, nous découvrîmes qu’il s’agissait d’une Hydre, immense créature à 2 pattes, 12 têtes. Et ces “flaques” n’étaient que ses excréments!

Nous fuyâmmes en nous séparant pour maximiser nos chances de survies. Je profita d’un dévers pour me soustraire à ses regards perçants, non sans manquer de débuter une fameuse omelette, ayant atterri dans un étrange nid. Johannes de son coté réussi à se terrer dans un coin, brisant la piste de l’hydre. Hogan quant à lui chercha à se cacher dans un rondin, mais son odeur ou le raffut qu’il faisait ne lui permis pas de se défaire de l’horrible bête. L’hydre décida donc de faire d’Hogan un petit amuse-gueules (elle en a 12 tout de même).

Bien décidé à faire preuve de piquant, notre compagnon jeta rapidement sa poudre du limon assoupi vers la bête tandis que je lançais ma poudre des yeux rouges. Cependant, ces concoctions alchimiques ne pourront pas nous sauver bien longtemps. Hogan ne le sait que trop bien. Il se décide donc à attaquer la créature. Lors de ce combat acharné, il manque à plusieurs reprise de se faire déchiqueter par l’une des immenses bouches dont la denture acérée semble luire tel les couteaux de l’aubergiste de bon repos. C’est alors que Johannes réussit au péril de sa vie à éventrer la créature; non sans être projeté par celle-ci auprès d’une flaque d’acide. Il ne réchappe de la mort que par l’intervention de la constellation du troll d’Hogan. Profitant de cette distraction j’aligne ma cible, mon trait, décoche: l’aorte, une gerbe de sang. Se relevant, Johannes se précipite et finit d’éventrer la créature.

Nous nous en sortons, mais épuisés!

[11,32] Nous continuâmes et observèrent au fil de notre progression l’apparition de flaque d’eau de plus en plus grande. Rapidement celles-ci devinrent des étangs, puis des lacs, puis une lagune percée ça et la d’ilots… nous approchons de la cote.

Au loin, un bateau, ou plutôt un prototype devrais-je dire : Nous apprendrons plus tard qu’il s’agissait d’un chariot à manne. Son pilote Cornish est un marchand, qui connait bien Brannigan. Après quelques palabres, nous réussîmes à le convaincre de nous emmener au pieds de la statut en échange de la localisation du cadavre de l’hydre qu’il compte dépecer. Cependant le bateau est trop petit pour l’ensemble de notre troupe. La suite de Johannes rentrera au fortin avec Cornish.

• Patrouilleurs présents: Johannes, Hogan, Yari
• Hexagones traversés: 10,33 10,34
• Météo : Grand beau temps, nappes de brume comète noire

Après un départ fumeux (ou puant c’est au choix) et après avoir mis de coté le soucis de l’odeur (en plaçant Hogan à 5 bonnes coudées du bateau, dans l’eau), nous pûmes partir tranquillement.

Une ombre sous le bateau !

Alors que nous voguions paisiblement vers la statue, nous distinguâmes sous le bateau une immense ombre. Quelques secondes plus tard, nous l’observâmes dévorer des oiseaux posés sur l’eau. Hogan remonta à bord par la force. S’ensuit une bagarre que je passe ici sous silence. Sachez simplement que votre serviteur a finalement lancé 2 bouées de sauvetage puis puni Cornish et Hogan chacun à un bout du bateau.

[10,34]

Un nuage noir? Non un immense vaisseau!

Les collines ont disparu, nous sommes seul au milieu de la mer.

Seul? J’aurai préféré. Yari

Effectivement, le silence consécutif à la mise au calme de Cornish et Hogan, prompt à la rêverie et à la relaxation fut brisé par l’irruption d’un immense vaisseau fonçant sur nous. À bord, un équipage complet d’hommes lézard. Mes compagnons décidèrent de tenter le tout pour le tout et d’aborder le navire. Je n’en n’eu pas l’occasion et me retrouva à l’eau. Alors que je remontais à grand peine le long du filet et m’accrochait désespérément au rebord du navire, je finis par atteindre le pont à l’instant ou mes amis étaient défaits et s’apprêtaient à être emprisonnés.

Comment osez-vous vous en prendre à Yari et ses compagnons? Ceux qui ont sauvé Titatouine et partagé le Wakambé avec Haninab? Est-ce ainsi que vous remerciez ceux qui ont aidé vos frères et sœurs?

Il semblerait que le capitaine de ce vaisseau soit un frère d’Haninab, et que ceux-ci entretiennent de bonnes relations. Nous avons de la chance. Mes amis et moi même ne seront pas mis aux arrêts.

• Patrouilleurs présents: Johannes, Hogan, Yari
• Hexagones traversés: 10,34 10,35

Le frère d’Haninab a accepté de nous déposer au pied de la statue “La lumière guidant le peuple”, mais il n’a pas souhaité resté. Nous voici donc au pied de l’immense statue aux pieds léchés par les vagues, faufilant entre ses orteils.

La statue est impressionnante, une centaine de mètres de haut, elle semble revêtue d’une tenue d’un seul tenant, bouffante aux épaules. Là où devraient se tenir son regard se situe une impressionnante paroi, lisse comme l’eau. Elle tient dans sa main droite une étrange lanterne d’où émane une obscure lueur.

Peu de doute où se situe notre objectif, c’est vers la lumière qu’il nous faut progresser; mais comment?

Après un rapide tour de la base, rien de visible n’apparait, mais Hogan nous apprend que 2 dangers nous guettent: Quelque chose de sombre au fond de l’eau, et la chose sombre qui luit la haut. Alors quelle menace affronter en premier ?

Pourquoi regarder le ciel lorsque la réponse nous attend à nos pieds?

Je me déséquipe de mon armure et plonge sous la surface: La base de la statue suit une forme régulière, géométrique. A première vue, rien ne semble anormal. Cependant, en passant au droit du dos de la statue, mon regard est capté par un reflet anormal. Alors que je m’approche de cette “porte” transparente, je perçois soudain un mouvement à l’orée de ma vision. Immédiatement, je me retourne, fait face, prépare à parer. Le coup arrive, soudain, violent, perçant. La blessure me hurle de reculer. Je lui obéi alors qu’Hogan plonge à l’assaut de la créature. Celle-ci tente de l’étreindre et de l’amener par le fond. Alors qu’Hogan lutte pour ne pas perdre son souffle, je profite du répit pour m’extraire de l’eau, saisir mon arc et décocher une flèche mortelle à ce que j’imagine être la gorge de la créature. Un coup. Une victime. Hogan peut maintenant s’approcher de la porte.

Hogan découvre rapidement que la porte réagit lorsqu’elle est frappée. D’étranges symboles similaires à des constellations d’étoiles apparaissent alors. Après quelque tentatives, la porte s’ouvrit enfin, permettant à Hogan ainsi qu’a l’eau de rentrer. J’espère qu’il se souvient de la combinaison qu’il a frappé pour ouvrir la porte.

Seul inconvénient de cette ouverture subite, l’eau qui s’engoufre dans le passage forme un tourbillon qui va rendre, tout du moins au début de sa formation, tout passage difficile.

Après quelques instant le temps que les turbulences liées à sa formation se calment, je plonge rejoindre mes camarades.

À peine ais-je pénétré dans le passage que j’entends un grand fracas. Aussitôt après, un bruit strident nous brise les oreilles. Je m’approche et m’aperçois que mes compagnons n’ont pas vu ce qu’ils ont brisé. Une armoire en verre? Mes yeux se sont plus rapidement habitué qu’eux à la quasi obscurité. Je les mène en dehors de cette étrange pièce à travers un labyrinthe de barrière extrêmement simple. Celui-ci ne fait que des allers-retours, sans cul-de-sac ni embranchement. Les créatures qui ont érigé cette statue sont vraiment étranges.

Nous montons l’immense escalier qui s’élance vers les hauteurs. Nous décidons d’explorer les hauteurs de la statue. Au niveau de ses yeux et de cette étrange surface, nous découvrons un immense mur transparent; nous permettant d’apprécier une vue imprenable sur la région.

Etrange matière dont est faite le mur. Les nains maitrisent-ils cette étrange technologie?

Nous poursuivons notre visite et suivons les portes. À plusieurs reprises, nous passons à proximité de tablette emplies de symboles tracés en soleil froid. Johannes tente d’extraire une rune afin que nous puissions l’étudier, mais celle-ci disparait aussitôt retirée, et impossible de la réactiver lorsque nous la replaçons. Il doit s’agir d’une magie très particulière.

Finalement, nous progressons jusqu’à la lanterne où nous découvrons la source de cette noirceur lumineuse: un cylindre flottant au milieu de la lanterne. Dés que Hogan s’en saisit, le sourd bourdonnement qui nous accompagnait sans que nous nous en apercevions disparait totalement; laissant place à un silence apaisant.

Comment rentrer?

En l’absence du vaisseau nous ayant amené jusqu’ici, il nous faut trouver un moyen de naviguer, a minima jusqu’à revenir là où nous avons pied. Fort heureusement, en explorant la base de la statue nous découvrons d’anciennes embarcation, non sans avoir finalement détruit les étrange appareils qui continuaient d’hurler après qu’Hogan ait brisé le meuble transparent.

Il faut croire que la Patrouille est avec nous, car nous n’avons rencontré aucune difficulté à rejoindre le fortin pour nous y reposer.

• Patrouilleurs présents: Johannes, Hogan, Yari
• Hexagones traversés: 12,26
• Météo : nuageux, Le soleil ne s’est pas levé

Alors que nous approchons des ruines, les ténèbres se font de plus en plus denses. Arrivés à proximité des ruine, nous observons une créature dominant les ruines, en train, semble-t-il de construire un échafaudage magique pour descendre vers les ruines. Sa gueule de tigre tient fermement une pierre noire : De l’obsidienne. Pas de doute possible, il s’agit d’un Rakshasa. Alors que nous nous apprêtions à combattre, Johannes se présente à la créature, et, aussi étonnant que cela puisse paraitre, cela n’entraine pas la mort immédiate de Johannes ou de l’un de ses suivants prêt à se sacrifier pour lui.

La créature serait ici pour récupérer le rejeton et nous demande l’artefact que nous sommes allés chercher à la statue. Selon-lui il ne fallait pas séparer l’artefact et le rejeton; mais cela contredit totalement ce que nous a confié Yari. Il faut en savoir plus avant de prendre une décision. Il faut descendre le rejoindre.

Nous progressons aussi vite que nous le pouvons, conservant précieusement l’artefact que nous avons récupéré. Finalement nous arrivons au plus profond de la ruine presque au même moment que le Rakshasa, mais pas de trace de Yari. Celui-ci maitrise (détruit, tue?) le rejeton sans effort visible. Ceci à pour effet au même moment de tuer l’ensemble des squelettes qui s’étaient ranimés quelques instant plus tôt.

Yari n’étant plus là, le rejeton éliminé, nous décidons de confier au Rakshasa le phylactère récupéré à la statue. Celui-ci remonte alors et disparait dans la comète.

La comète quant-a-elle rétrécira pendant plusieurs jours avant de disparaitre totalement.

Mais où est passé Yari, et que sait-il vraiment sur le Rejeton et le Phylactère.

Quant à nous, nous pouvons explorer le lieu ou était retenu le Rejeton, maintenant que celui-ci n’est plus.